Physique des catastrophes (La) / Marisha Pessl (2007)
|
Réservation
Réserver ce documentExemplaires (1)
Cote | Section | Disponibilité |
---|---|---|
R-1 PES 7035 p | Romans adultes | Disponible |
Avis des lecteurs : 1 avis, veuillez vous identifier pour ajouter le vôtre !
Visible par tous
La Physique des catastrophes, par Marisha Pessl
Par Françoise DELSEMME le 16/02/2018
Bleue, une adolescente surdouée, suit son père veuf, brillant professeur d'histoire, d'une université américaine à l'autre. Elle est en classe terminale quand son père, avec lequel elle vit une relation fusionnelle, se sédentarise dans une petite ville. Le père et la fille s'adonnent continuellement à des joutes oratoires, émaillent leurs conversations de références littéraires et cinématographiques (pour la plupart inventées par l'auteur), refont la physique quantique, etc. Entrée à l'université, Bleue va rencontrer une professeure de cinéma qui va la fasciner... et ici tout bascule.
Les premiers chapitres de ce roman-fleuve de plus de 600 pages étant des entrées en matière, il faut donc persévérer dans sa lecture, ne pas se décourager avant de se retrouver au coeur de l'intrigue. Ensuite, on est conquis par cette narration très maîtrisée que l'on pourrait définir comme un roman d'apprentissage, une évocation des relations père-fille, une enquête littéraire, une critique des milieux universitaires, un récit de voyage qui va soudainement virer au thriller, noir, drôle et fascinant.
(Coup de coeur : Cercle de Lecture du 6 mars 2016)
Les premiers chapitres de ce roman-fleuve de plus de 600 pages étant des entrées en matière, il faut donc persévérer dans sa lecture, ne pas se décourager avant de se retrouver au coeur de l'intrigue. Ensuite, on est conquis par cette narration très maîtrisée que l'on pourrait définir comme un roman d'apprentissage, une évocation des relations père-fille, une enquête littéraire, une critique des milieux universitaires, un récit de voyage qui va soudainement virer au thriller, noir, drôle et fascinant.
(Coup de coeur : Cercle de Lecture du 6 mars 2016)