Si ce livre pouvait me rapprocher de toi / Jean-Paul Dubois (2000)
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Cote | Section | Disponibilité |
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R-4 DUB 2063 s | Romans adultes | Sorti jusqu'au 02/05/2024 |
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Coup de coeur du Cercle de Lecture du 11 mars 2018
Par Bibliothèque Charles Bertin Coup de coeur du cercle de lecture le 24/03/2018
Paul Peremülter est arrivé à un point mort de sa vie. Son enfance a été marquée par la mort prématurée de sa mère, et par la mystérieuse disparition au Canada de son père. Écrivain, il est peu satisfait de son dernier roman. Sa femme l'a quitté, il n'a pas d'enfants, sa stérilité ayant été confirmée par de nombreux examens. Son chien, qui était son seul compagnon, est mort. Il est désemparé, désargenté et sans désirs. D'autres auraient sombré, mais lui décide de tout plaquer et de partir vers d'autres horizons pour mettre ses pas dans ceux d'un père qu'il a mal connu.
De petit boulot en petit boulot, en Floride et dans le golfe du Mexique, il arrive au milieu des grands espaces canadiens. Il se souvient d'un ami de son père, Jean, qui l'avait jadis prévenu de la disparition. C'est ainsi qu'il débarque à La Tuque chez Jean qui l'accueille à bras ouverts. La Tuque est un petit village au milieu des bois et entouré d'innombrables lacs. L'activité principale est la pêche : les conversations tournent autour des lignes, des hameçons, des mouches à fabriquer et des poissons.
Paul découvre ce pays que son père aimait et où il se rendait deux fois par an pour pêcher. Il s'est probablement noyé dans un lac que Jean a fouillé en vain pendant des années. Paul apprend surtout, en visionnant de vieux films, que son père avait une double vie, ce qui le bouleverse car il avait toujours cru être l'unique aimé de son père.
S'ensuivent de nombreuses péripéties au cours desquelles Paul découvre ce beau pays de lacs. Au péril de sa vie, il s'enfonce dans des forêts bien peu hospitalières.
Le lecteur ne peut qu'être ému par ce voyage initiatique qui amène le héros à retrouver ses racines paternelles, à faire la paix avec lui-même et ainsi à reprendre pied dans la vie. Il appréciera aussi les belles descriptions de paysages.
(Coup de coeur du Cercle de Lecture du 11 mars 2018)
De petit boulot en petit boulot, en Floride et dans le golfe du Mexique, il arrive au milieu des grands espaces canadiens. Il se souvient d'un ami de son père, Jean, qui l'avait jadis prévenu de la disparition. C'est ainsi qu'il débarque à La Tuque chez Jean qui l'accueille à bras ouverts. La Tuque est un petit village au milieu des bois et entouré d'innombrables lacs. L'activité principale est la pêche : les conversations tournent autour des lignes, des hameçons, des mouches à fabriquer et des poissons.
Paul découvre ce pays que son père aimait et où il se rendait deux fois par an pour pêcher. Il s'est probablement noyé dans un lac que Jean a fouillé en vain pendant des années. Paul apprend surtout, en visionnant de vieux films, que son père avait une double vie, ce qui le bouleverse car il avait toujours cru être l'unique aimé de son père.
S'ensuivent de nombreuses péripéties au cours desquelles Paul découvre ce beau pays de lacs. Au péril de sa vie, il s'enfonce dans des forêts bien peu hospitalières.
Le lecteur ne peut qu'être ému par ce voyage initiatique qui amène le héros à retrouver ses racines paternelles, à faire la paix avec lui-même et ainsi à reprendre pied dans la vie. Il appréciera aussi les belles descriptions de paysages.
(Coup de coeur du Cercle de Lecture du 11 mars 2018)